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Ouvrages

Paris, 2004, 404 pages. [Collection « Civilisations et sociétés » ]

«Au fondement de ce livre est l'idée qu'on ne peut penser les années d'après-guerre (et dans une moindre mesure le XX^e siècle tout entier) sans mettre les sciences au cœur de l'analyse. L'hypothèse est que les années 1940 et 1950 pensent d'abord par la science, qu'elles la conçoivent comme la solution naturelle à toutes leurs questions ».

Le propos de cet ouvrage collectif est de saisir les nouveaux visages de la science de ces années, ses pratiques et ses cousinages avec les techniques, les offres qu'elle fait au politique et à l'économique, les demandes que le social lui impose.
L'article introductif tente une caractérisation d'ensemble de ces transformations, et notamment de l'impact de la culture de guerre sur le nouvel univers des sciences et des techniques. La première partie de l'ouvrage met l'accent sur la multiplication de nouvelles pratiques formelles, théoriques et calculatoires, la seconde est consacrée aux rapports entre sciences, États et sociétés.

«Au fondement de ce livre est l'idée qu'on ne peut penser les années d'après-guerre (et dans une moindre mesure le XX^e siècle tout entier) sans mettre les sciences au cœur de l'analyse. L'hypothèse est que les années 1940 et 1950 pensent d'abord par la science, qu'elles la conçoivent comme la solution naturelle à toutes leurs questions ».

Le propos de cet ouvrage collectif est de saisir les nouveaux visages de la science de ces années, ses pratiques et ses cousinages avec les techniques, les offres qu'elle fait au politique et à l'économique, les demandes que le social lui impose.
L'article introductif tente une caractérisation d'ensemble de ces transformations, et notamment de l'impact de la culture de guerre sur le nouvel univers des sciences et des techniques. La première partie de l'ouvrage met l'accent sur la multiplication de nouvelles pratiques formelles, théoriques et calculatoires, la seconde est consacrée aux rapports entre sciences, États et sociétés.

Le propos de cet ouvrage collectif est de saisir les nouveaux visages de la science de ces années, ses pratiques et ses cousinages avec les techniques, les offres qu'elle fait au politique et à l'économique, les demandes que le social lui impose.
L'article introductif tente une caractérisation d'ensemble de ces transformations, et notamment de l'impact de la culture de guerre sur le nouvel univers des sciences et des techniques. La première partie de l'ouvrage met l'accent sur la multiplication de nouvelles pratiques formelles, théoriques et calculatoires, la seconde est consacrée aux rapports entre sciences, États et sociétés.