À l’occasion de la parution du livre de Marie-Claire Bergère Chine, le nouveau capitalisme d’État (Fayard, 2013) une table ronde présidée par Frédéric Obringer (directeur du CECMC, CNRS) réunira, en présence de l’auteur :
Historienne de la Chine moderne dont elle suit les mutations depuis plus de quarante ans, Marie-Claire Bergère revient sur la nature hybride du régime chinois. Elle montre comment les réformes lancées depuis 1980 sont conduites de façon autoritaire par une élite dont l’objectif n’est pas de créer un système capitaliste, mais d’utiliser au mieux les ressources du marché pour développer la richesse de la Chine, renforcer sa puissance et préserver le monopole du parti.