«Les instruments, les techniques, les langues, les motifs, les mélodies s’offrent à la comparaison, à la réflexion sur les permanences et le mouvement. Les angles d’approche de ces musiques en lieux d’Islam sont aussi variés que les domaines sociaux et culturels. Ici les «regards comparés» trouvent idéalement matière à s’exercer. Nombres de registres peuvent être retenus, ceux définis par les instruments musicaux, par la position de la voix et du chant, ceux exprimant des identités culturelles fortes, ceux délimitant les domaines du sacré et des expériences religieuses, ceux explorant les rapports sociaux, les tensions politiques, les recouvrements culturels, les cohabitations religieuses, les expériences des mondialisations…» (Jean-Claude Penrad, extrait du Programme) :