Isabelle Backouche
La mission que m’a confiée François Weil a un double objectif. D’une part, socialiser le projet de campus après plusieurs années difficiles qui ont vu différentes solutions de relogement proposées à notre communauté, depuis le bâtiment de la parcelle 521 jusqu’à la validation du projet de campus Condorcet en février 2009 et l’annonce de son financement en septembre 2009. Ce premier aspect ne sera satisfait qu’au travers de la seconde dimension de la mission : susciter la volonté de travailler collectivement à élaborer un « cahier d’acteurs » qui sera nourri de toutes les idées, suggestions et expériences que chacun peut apporter. Ce « cahier d’acteurs» servira à construire le futur programme du campus à partir duquel les architectes travailleront. Si les premiers bâtiments du campus ne doivent sortir de terre que vers 2014, nous devons nous convaincre qu’en amont l’éventail des possibilités est très large et qu’au moment des choix qui seront opérés il est préférable que nous ayons à offrir des propositions concrètes.
Soucieuse de conserver le caractère collectif de la mission, j’ai procédé de façon empirique et informelle, convaincue qu’il fallait donner du temps à chacun pour qu’il se mobilise autour du projet. Deux réunions ont eu lieu, les 22 juin et 21 septembre 2009. L’intérêt pour cette concertation est encore inégal parmi les personnels mais il me semble normal que la question progresse à un rythme lent au sein de notre communauté, beaucoup d’inconnues subsistant autour du projet. Je suis persuadée qu’au fur et à mesure que les objectifs de la mission et ses méthodes se préciseront, l’implication de chacun ira grandissante. En témoigne l’augmentation notable des propositions qui m’ont été faites en vue de la réunion du 22 octobre autour du premier des quatre thèmes sur lesquels nous avons décidé de travailler. Ces thèmes s’emboîtent à des échelles différentes et tentent de couvrir tous les aspects de la vie du futur campus : les espaces de travail et leur distribution, les grands équipements scientifiques mutualisés (comme par exemple la bibliothèque, les archives, l’image, le numérique, les salles de conférences, de colloque ou de soutenance de thèse), les espaces partagés non dédiés au travail, enfin, l’insertion urbaine du campus.
La réflexion sur les espaces de travail et leur distribution soulève la question plus large de la grande diversité des rôles que chacun est amené à jouer au sein de l’EHESS. Recherche, enseignement, administration, réception d’étudiants ou de collègues, travail en équipes, toutes ces activités demandent des espaces distincts, mis en relation, partagés et leur configuration doit respecter la volonté de chacun d’avoir son espace de travail et l’impérieuse nécessité de trouver à différents moments des espaces de rencontre de qualité. Nous seuls connaissons suffisamment finement l’intrication des différents aspects de notre travail quotidien pour pouvoir guider et orienter les professionnels qui concevront le campus. C’est convaincu de cette idée simple que chacun doit modestement s’impliquer dans la concertation que je pilote. Il faudrait également que la réflexion soit menée à des échelles différentes. Ainsi certains laboratoires avaient, dès 2007, engagé une véritable réflexion autour du déploiement futur de leurs activités et je souhaite que plusieurs responsables de laboratoires acceptent de prolonger ce travail afin de faire des propositions concrètes. Il faudrait qu’il en soit de même à l’échelle des mentions de master. À cet égard, il est important que les étudiants, à titre d’élus ou individuellement, participent à cette réflexion collective qui fera du campus un véritable lieu de travail et de vie pour eux. Lors de la réunion du 21 septembre, Jean-Claude Schmitt, président du comité scientifique de l’association de préfiguration du campus, et Yves Beauvois, secrétaire général de l’association, étaient présents. Ils ont pu donner des informations à propos de l’avancée du travail sur le terrain et éclairer les participants sur les relations entre les huit partenaires et les collectivités locales. Ils ont notamment annoncé la mise en œuvre d’une plaquette électronique qui sera diffusée à tous les futurs usagers du campus et la tenue de « Conférences Condorcet » sur le site afin de faire vivre le campus avant le campus. La première devrait avoir lieu au début de l’année 2010 autour de la question « Qu’est-ce qu’un campus ? » et sera l’occasion pour les architectes ayant fait travailler leurs étudiants français et américains sur le projet de présenter leurs travaux. Un appel d’offres a été lancé pour choisir une équipe de programmistes qui commenceront à travailler dès la fin de l’année, notamment à partir de nos propositions. Un responsable du projet bibliothèque devrait également être recruté dans les mois à venir.
Par ailleurs, deux réunions ont eu lieu sous l’égide de Thierry Bergeonneau à propos du logement des étudiants et des chercheurs sur le campus. L’architecte qui travaille au sein de l’association de préfiguration, Sophie Longeau, sollicite tous les partenaires pour qu’ils donnent une évaluation du nombre de logements nécessaires pour leur population étudiante et de chercheurs invités. Nous avons également pris en compte les post-doctorants et la possibilité pour l’EHESS d’offrir aux personnels administratifs mutés en région parisienne un logement. Un travail a été mené avec la scolarité, les responsables d’Apogée et ceux de la vie étudiante afin de dessiner les besoins de l’EHESS de façon plus fine et faire des propositions. Il faudra poursuivre la réflexion pour préciser le type de logements souhaités, leur localisation dans le campus et à proximité de celui-ci.
Nous poursuivrons notre travail collectif à raison d’une réunion par mois environ. L’intérêt de chacun sera plus ou moins vif selon les sujets abordés et il sera peut-être nécessaire à terme d’imaginer un second niveau de concertation pour approfondir le travail sous la forme d’une commission plus restreinte. À l’image de celui que j’ai piloté dans le cadre de la mission sur l’égalité professionnelle à l’EHESS, ce groupe serait l’interlocuteur des programmistes et échangerait avec les autres partenaires du campus. La composition de cette formation restreinte devrait répondre me semble-t-il à deux critères : l’engagement de chacun de ses membres à s’investir dans le travail collectif et la représentation de tous les membres de notre communauté. Devraient alors siéger des représentants des enseignants-chercheurs, du CNRS (chercheurs et ingénieurs), du personnel administratif (mentions, services généraux), des étudiants, de la bibliothèque, des archives, des services informatiques, de l’audiovisuel, de la logistique, du CAES. L’idéal serait que les deux périmètres de travail soient imbriqués et qu’ils travaillent en concertation étroite. J’imagine que la formation restreinte se dégagera naturellement au fil des séances, selon la motivation respective de chacun à s’impliquer dans l’élaboration du projet.
Enfin pour que nous puissions tous nous approprier l’espace du futur campus, la page du site de l’EHESS relative au campus offrira le maximum d’informations et va mettre à dispositions notamment la préfiguration du schéma directeur du campus Condorcet réalisée par la SCET et l’étude pré-opérationnelle d’aménagement sur le coeur de la plaine à Saint-Denis et Aubervilliers (93) qui ont été validés en février 2009 et proposent toute une série de cartes qui situent l’opération du campus dans l’espace.
Philippe Casella,
directeur
philippe.casella
@ehess.fr
La direction du développement de la recherche (DDR) rassemble des missions qui jusqu’alors apparaissaient de façon distinctes, elle s’attache à développer et à consolider les forces de recherche de l’École et soutenir leur déploiement à l’international. Ses objectifs peuvent se résumer par trois missions qui associent une visée prospective et des réalisations très concrètes :
Caroline Chu apporte une expertise dans le montage des projets qui seront soumis auprès des bailleurs de fonds nationaux, européens, internationaux : Conseils régionaux, Agence nationale de la recherche, Commission européenne, organismes internationaux. Elle supervise l’ensemble des phases du montage de projet : elle effectue une veille sur les possibilités de financements et en informe les chercheurs, elle les aide à reconfigurer leur projet selon les termes de référence exprimés dans les appels à propositions, les aide à déterminer les moyens organisationnels, les accompagne dans la recherche de partenariats, participe à la définition des budgets et aux dispositions contractuelles. Par ailleurs, elle contribue à la mise en place des actions de valorisation avec les laboratoires (transfert des résultats de la recherche vers le monde socio-économique).
Maria-Teresa Pontois assure le montage, l’aide au développement et le suivi des projets de groupement scientifique à l’intérieur de l’École et en coopération avec d’autres institutions du monde académique ou socio-économique. Elle met en place des partenariats à dimension de valorisation avec des organismes européens et internationaux et des acteurs du monde socio économique. En outre, elle élabore et accompagne les projets de partenariat dans le cadre de programmes européens et internationaux associant formation et recherche, en assurant la liaison avec la direction des enseignements et de la vie étudiante.
Françoise Michaud aide et accompagne les chercheurs dans la mise en place des conventions et des accords internationaux de recherche et d’enseignement dans le cadre de la politique internationale de l’EHESS. Elle participe à leurs rédaction et négociation et en assure le suivi et la mise en œuvre. Elle organise par ailleurs les procédures d’instruction des dossiers relatifs aux appels à proposition internes « Relations internationales ».
Contact : francoise.michaud@ehess.fr
Alba Horenstein assure auprès des professeurs étrangers associés à l’École, jeunes chercheurs, post-doctorants, étudiants-boursiers, en long ou court séjour, un appui personnalisé à la recherche de logement en leur apportant conseils et informations sur les démarches à effectuer au sein et à l’extérieur de l’EHESS. Elle assure à cette fin la mise en place et le suivi des conventions signées avec les organismes publics et para-publics pour l’attribution de logements.
Sandra Pertays aide les chercheurs étrangers bénéficiant de divers types de financements (allocations des institutions d’origine, bourses françaises ou européennes, etc.) dans la mise en place de leur convention d’accueil.
Contact : sandra.pertays@ehess.fr
Déborah Furet est chargée de concevoir et d’accompagner la mise en œuvre des fondations portées par l’EHESS en créant les conditions favorables à leur développement. Sa mission participe des échanges entre l’École et la cité.
L’équipe sera complétée par un responsable des moyens de la recherche.
L’ENT offre un panel d’outils et de services numériques pour se documenter, informer, communiquer et travailler en collaboration. Autant d’outils et services qui se développeront au fil des mois. Depuis deux ans des équipes d’étudiants, d’enseignants-chercheurs, et d’administratifs travaillent en collaboration à la mise en place de cet ENT. Il est désormais ouvert à tous les membres de l’EHESS et vivra grâce aux contributions de chacun.
Une journée « Découverte de l’ENT » est organisée le 4 novembre à Paris. Celle-ci sera l’occasion de présenter les différentes fonctionnalités offertes et de discuter de ces nouvelles pratiques. Nous vous y accueillerons de 10h à 19h afin de répondre à vos questions.
Journée « Découverte de l’ENT » Mercredi 4 novembre de 10h à 19h salle Gaston Berger (ancien fumoir - près de la cafétéria) 54, bd Raspail – Paris.
Trois nouvelles rubriques sont désormais accessibles via la page d’accueil du site, dans la colonne de gauche, sous la forme de vignettes turquoise.
L’EHESS dans les médias liste les interventions des chercheurs de l’École accessibles sur les sites web des sources, tels que www.lemonde.fr, www.lexpress.fr, www.liberation.fr, www.latribune.fr, etc. Un lien permet la consultation de l’article.
Nos livres présente les publications des chercheurs rattachés à des centres de l’École, selon l‘ordre chronologique de parution. Couverture de l’ouvrage et informations bibliographiques y figurent. Il sera bientôt possible d’effectuer une recherche par auteur ou d’inverser l’ordre de présentation. Les données seront évidemment archivées et demeureront accessibles. Informations de parutions, d’interventions, de même que toutes remarques ou suggestions sont les bienvenues : communication@ehess.fr.
Appels d’offres SHS recense les appels à projets permettant le financement de la recherche en sciences humaines et sociales. Des liens hypertextes renvoient aux différents sites institutionnels proposant des aides nationales et internationales.
Le Rapport de Bernard Larrouturou sur l'immobilier universitaire parisien, remis il y a quelques jours à la ministre, est téléchargeable sur la page suivante du site du ministère : http://www.enseignementsup-recherche.gouv.fr/cid49135/faire-de-paris-la-plus-belle-metropole-universitaire-du-monde.html
Les statuts de la fondation Condorcet ont été votés par le conseil d'administration extraordinaire de l'EHESS qui s'est réuni le 23 octobre. Lire la suite…
Programme de recherche en santé publique sur les déterminants de la santé et du maintien de l’autonomie et leurs interactions. La CNSA dans le cadre de l’IReSP a participé à l’élaboration de ce programme et incite vivement tous les chercheurs en santé publique et en particulier ceux intéressés aux personnes en perte d’autonomie à déposer des projets avant le 24 novembre 2009.
Mardi 17 novembre
La collection de photographies de Grig Pop (1922-2008), actuellement exposée dans le hall du 54 bd Raspail, présente une singulière « galerie des hommes illustres », ainsi que le remarquait François Weil en inaugurant, le 27 octobre 2009, l’exposition : « Regards et Paroles. Visages de l’École en 1986-1987 » organisée par le service des archives de l’EHESS et plus particulièrement Jacqueline Monfort, avec la participation active de Denise Pop.
Ces visages et ces regards, ont attendu plus de vingt ans dans leurs albums pour surgir aujourd’hui dans toute la force de leur présence. Lors d’une campagne photographique spontanée qu’il mena l’année de son départ en retraite, Grig Pop a saisi sur le vif ces membres de l’École qu’il connaissait tous pour les avoir reçus dans son bureau de gestionnaire des personnels. Participant à toutes les grandes rencontres et manifestations organisées par l’École en cette année universitaire 1986-1987 (colloques internes, conférence Marc Bloch, hommages aux anciens), il s’est fait le portraitiste des plus illustres et des plus modestes membres de l’École. Les regards qui se tournent vers son objectif sont empreints de sympathie pour le photographe et ceux qui n’y prêtent pas attention, sont d’un parfait naturel. Mais l’art du photographe va au-delà du portrait souriant ou pensif. Il saisit sur les visages la parole en train de se dire, souvent accompagnée de la gestuelle des mains. Parole savante au pupitre ou à la tribune, parole intense ou légère de la conversation, parole échangée autour d’un verre ou au cours d’un repas, cette oralité qui, plus encore que les livres, tisse le lien social et intellectuel d’une communauté de chercheurs et d’enseignants, Grig Pop l’a admirablement saisie dans l’instant et imprimée sur la pellicule.
Il était sans doute nécessaire que cette œuvre photographique soit oubliée pendant deux décennies pour resurgir avec la patine du temps, à la veille d’un grand déménagement. Ces regards, ces visages qui ont fait et qui font toujours l’École nous parlent, aujourd’hui comme hier, et venir les regarder est aussi les entendre. « Ces visages d’hier, ceux des morts comme ceux des vivants, nous parlent de recherche et d’avenir ; ils nous donnent l’assurance que tout reste possible » écrit Marc Augé dans son texte de présentation disponible à l’accueil avec le signet de l’exposition (pour l’identification des portraits du signet voir : http://www.ehess.fr/archives/document.php?id=5108).
Une exposition n’a qu’un temps, elle est limitée dans le choix des tirages (soixante-dix sur les 580 clichés) et nous regrettons quelques grands absents. Le support numérique nous permettra de combler ces lacunes et de pérenniser l’accès à un plus grand nombre de photographies par une exposition virtuelle, en cours de préparation sur le site des archives de l’École.
Brigitte Mazon
brigitte.mazon@ehess.fr
2e Conférence-débat de l’Université populaire du 18e.
Paris
Après le succès de la première rencontre autour de François Dubet, l’Université Populaire revient avec un sujet de politique internationale autour du président américain, Barak Obama. Un premier bilan de l’activité considérable par laquelle la nouvelle administration américaine a tenté de répondre aux défis de l’actualité économique et sociale, écologique et internationale, conduit par le regard aiguisé de Pap Ndiaye, historien spécialiste des États-Unis, et également auteur d’un essai sur « La condition noire » en France.
Programme : Télécharger le programme
Lieu : Mairie du 18e – salle des fêtes – 1, rue Jules-Joffrin – 75018 Paris
Paris
Colloque inaugural de la Fondation France-Japon de l’EHESS, organisé avec la Maison de la culture du Japon à Paris.
De façon étonnante, les analyses françaises de la crise mondiale que nous traversons mentionnent très rarement le Japon, alors qu’il est l’un des pays dont la conjoncture s’est le plus détériorée. La trajectoire japonaise depuis la fin des années 1980 est porteuse d’enseignements : après l’éclatement de bulles financières et foncières au début des années 1990, le Japon a en effet connu une longue décennie de stagnation. Durant ce colloque, des chercheurs français et japonais confronteront leurs analyses et leurs expériences. Au cours d’une première table ronde, une mise en perspective de cette année de crise économique sera proposée. Ensuite, une seconde table ronde permettra à deux chefs d'entreprise de débattre autour de leur analyse de la crise. Une troisième table ronde analysera les effets sociaux et fiscaux de la crise. Enfin, on s’attachera à l’après-crise et à l’avenir du capitalisme.
Programme : www.mcjp.fr
Contact : Sébastien Lechevalier – sebastien.lechevalier@ehess.fr
Lieu : Maison de la culture du Japon – Grande salle – 101 bis, Quai Branly – 75015 Paris
Paris
Table ronde organisée dans le cadre du programme de recherche de l’École française de Rome, en collaboration avec le CARE (CRH - EHESS/CNRS) et avec le soutien du Centre d'histoire "Espace et Cultures" (université Blaise-Pascal de Clermont-Ferrand) et de l'Institut universitaire de France.
Ces journées verront se conjuguer les travaux de chercheurs issus de différentes institutions sur les saintetés dans le monde chrétien d'époque moderne pour une série de propositions sur les reliques des «vieux saints», au croisement de l'enquête de l'équipe de Bernard Dompnier sur la place des «vieux saints» à l'époque moderne et des recherches du CARE sur les corps saints des catacombes romaines.
Entrée libre dans la limite des places disponibles
Programme : actualites.ehess.fr
Contact : Caroline Baros – cabaros@ehess.fr
Lieu : EHESS – salle M. & D. Lombard – 96, bd Raspail – 75006 Paris et INHA – salle Walter-Benjamin – 2, rue Vivienne – 75002 Paris
Toulouse
Colloque international organisé par le LISST-Centre d’anthropologie sociale et le laboratoire GEODE en partenariat avec le Conservatoire botanique national des Pyrénées.
Seront réunis des chercheurs de plusieurs pays européens (France, Suisse, Italie, Espagne) travaillant dans différentes branches des sciences sociales (anthropologie, géographie, sociologie) ainsi que des naturalistes et des écologues, investis dans des institutions chargées de la gestion de la nature (Conservatoires botaniques, Parcs nationaux ou régionaux). Centré sur l'aire européenne, le colloque examinera les logiques intellectuelles et sociales qui sous-tendent les différentes visions du patrimoine naturel, en l’occurrence la flore de montagne.
Programme : w3.lisst.univ-tlse2.fr
Contact : Brigitte Cousin – bcousin@ehess.fr
Lieu : Université de Toulouse-Le Mirail – Maison de la Recherche – 5, allées Antonio-Machado – 31058 Toulouse
Paris
Journée d’études internationale organisée par le programme Handicap et sciences sociales, avec l’Institut fédératif de recherche sur le handicap et la revue Alter. Les journées organisées par le « programme handicap » visent à échanger autour des rapports complexes et ambivalents qu’entretiennent les sciences humaines et sociales avec le handicap comme objet de recherche, réflexion insuffisamment développée au sein de l’EHESS.
Après une première rencontre « Le handicap, un moteur pour les sciences sociales » qui confrontait différentes perspectives nationales (anglo-saxonnes, françaises) sur la constitution disciplinaire des disability studies, cette journée propose d’articuler la question du handicap aux enjeux de la médecine périnatale. En effet, durant la même période où la mobilisation collective des personnes handicapées et les disability studies contribuaient à transformer l’approche politique du handicap, des innovations technologiques ont investi le champ de la périnatalité, reformatant sensiblement l’expérience des femmes et des professionnels et impliquant les pratiques qui entourent la naissance dans une nouvelle forme de traitement social du handicap. C’est en effet souvent sur l’anticipation d’un handicap à venir que se prennent, en l’absence de solution curative, les décisions de vie ou de mort. Cette anticipation semble toutefois peu se nourrir des débats récents autour du handicap. Les échanges entre chercheurs de différentes disciplines et praticiens de la naissance pourraient permettre de penser conjointement deux champs d’intervention relativement cloisonnés.
Les échanges feront l'objet d'une traduction simultanée français/anglais, mais aussi en Langue des Signes Française.
Accès libre, inscription obligatoire.
Programme : Télécharger le programme
Contact : Marie Coutant – mcoutant@ehess.fr
Lieu : CEDIAS / Musée social – salle de conférences – 5, rue Las Cases – 75007 Paris
Paris
Colloque organisé par le Centre d’étude des mondes russe, caucasien et centre-européen (CERCEC).
Cette rencontre se propose de stimuler une réflexion comparative et interdisciplinaire sur les processus de construction symbolique des communautés dans l’espace sud-est et central européen à l’époque byzantine et ottomane. Seront interrogées les pratiques à même d’organiser et de perpétuer les divers types de communauté (famille, clan, communautés territoriales), l’histoire de leurs repères constitutifs (lieux, symboles, monuments, héros), ainsi que les processus de transmission du patrimoine symbolique des groupes en question.
Programme : cercec.ehess.fr
Contact : Dominique Bartoli – dominique-grisiola.bartoli@ehess.fr
Lieu : EHESS – salles 15 et 524 – 54, bd Raspail – 75006 Paris
Lyon
Atelier organisé par le Groupe de recherche européen Cultures of the Court and Cultures of the Body, Practices, Norms and Representations in European Courts, 12-18th Centuries (GDRE C3B).
Ces journées seront l’occasion d’un tour d’horizon comparatiste mettant l’accent sur plusieurs points : le problème de la diversité des sources, nombreuses et hétérogènes, l’évolution des profils de professionnels exerçant dans les milieux de cour, les attentes en matière de soins et de prophylaxie, les rapports entre pratiques et théories et la question des responsabilités réciproques (patient/praticien).
Programme : Télécharger le programme
Contact : Pierre Dimoyat – pierre.dimoyat@univ-lyon2.fr
Lieu : École normale supérieure - Lettres et sciences humaines – salle F122 – 15, parvis René-Descartes – 69007 Lyon
Paris
Colloque organisé par le séminaire d’histoire du calcul des probabilités et de la statistique du Centre d’analyse et de mathématiques sociales (CAMS), le Groupe d’étude pour l’Europe de la culture et de la solidarité (GEPECS, Université Paris-Descartes) et l’école doctorale de sciences humaines et sociales de l’université Paris-Descartes.
Ce colloque interdisciplinaire a pour but l'information mutuelle et la réflexion en commun sur : les indicateurs de la dispersion, de la variabilité et de l'inégalité ; la perception des phénomènes de concentration ou inégalitaires ; les problèmes et les méthodes dans diverses disciplines.
Programme : cams.ehess.fr
Contact : Marc Barbut – mbarbut@ehess.fr
Lieu : Sorbonne – salle de réunion, escalier G2, Galerie Gerson – 54, rue Saint-Jacques ou 1, rue Victor-Cousin – 75005 Paris
Paris
Journée d’études organisée par le CERCEC, l’Iconothèque russe et soviétique et le Réseau universitaire des chercheurs en histoire environnementale (RUCHE).
Ce colloque interdisciplinaire a pour but l'information mutuelle et la réflexion en commun sur : les indicateurs de la dispersion, de la variabilité et de l'inégalité ; la perception des phénomènes de concentration ou inégalitaires ; les problèmes et les méthodes dans diverses disciplines.
Programme : cercec.ehess.fr
Contact : Marie-Hélène Mandrillon – marie-helene.mandrillon@ehess.fr
Lieu : Maison des sciences de l’homme – salle 214 – 54, bd Raspail – 75006 Paris
Lyon
Colloque organisé par le Groupe de recherche européen AILP, le CIHAM et l'École normale supérieure-Lettres et sciences humaines de Lyon.
La traduction au Moyen Âge n’est-elle pas une prise de position politique par rapport à un discours dominant que le « discours » de la traduction vise précisément soit à détrôner ou à infléchir, soit à renforcer ? Il s’agira, si cette question renferme quelque pertinence, d’appréhender la traduction au Moyen Âge comme discours, et qui plus est, comme discours de/du pouvoir, de manière à circonscrire au mieux les contours de l’épistémologie de la traduction médiévale.
Programme : ciham.ish-lyon.cnrs.fr
Contact : Georges Martin – georges.martin@liberty.fr
Lieu : École normale supérieure - Lettres et sciences humaines – salle F106 – 15, parvis René-Descartes – 69007 Lyon
Valeria Ando, Università degli Studi di Palermo (Palerme, Italie), invitée par Marcello Carastro, au Centre Louis-Gernet du 8 novembre au 8 décembre 2009.
Veena Das, Johns Hopkins University (Baltimore, États-Unis), invitée par Carlo Severi, au LAS du 1er au 31 novembre 2009.
Michael David-Fox, University of Maryland (College Park, États-Unis), invité par Yves Cohen, au CERCEC du 15 novembre au 15 décembre 2009.
Vincent Debaene, à l’IEA du 1er octobre 2009 au 31 mars 2010.
Jonas Hinnfors, Göteborgs Universitet (Göteborg, Suède), invité par Yohann Aucante, au CESTA du 1er novembre au 20 décembre 2009.
Cormac O’Grada, University College Dublin (Dublin, Irlande), invité par Gérard Béaur, au CRH du 15 novembre au 15 décembre 2009.
Joao de Pina Cabral, Instituto de Ciencias Sociais da Universidade de Lisboa (Lisbonne, Portugal), invité par Enric Porqueres i Gené, au LAIOS du 15 novembre au 15 décembre 2009.
Winfried Menninghaus Institut für Allgemeine und Vergleichende Literaturwissenschaft, Freie Universität Berlin (Berlin, Allemagne), invité par Olivier Remaud et Jean-Marie Schaeffer, au CRPRA et au CRAL du 1er au 30 novembre 2009.
Derek Robbins University of East London, School of Humanities and Social Sciences, invité par Jean-Louis Fabiani, Jean-Claude Passeron et Emmanuel Pedler, au SHADYC du 23 octobre 2009 au 23 avril 2010.
Aldo Schiavone, Istituto Italiano di Scienze Umane (Florence, Italie), invité par Paolo Napoli, au CENJ du 1er au 30 novembre 2009.
Andrei Zorin, University of Oxford (Oxford, Royaume-Uni), invité par Wladimir Berelowitch, au CERCEC du 9 novembre au 8 décembre 2009.
Dans le cadre de la convention entre l’EHESS et Cultures-France, l’École accueille d’octobre à décembre 2009 l’artiste slovène Rok Bogataj.
Rok Bogataj, Vénus Paquet
Rok Bogataj, Vénus Cube
Durant son séjour, Rok Bogataj créera une œuvre qui s’inscrira dans la continuité de son travail autour des Vénus préhistoriques. Elle fera l’objet d’une exposition dans le hall du 54, bd Raspail. D’autres activités autour de ou à partir de son travail sont prévues.
Contacts : Jean-Marie Schaeffer – schaef@ehess.fr ● Claudine Cohen – claudine.cohen@ehess.fr ● Rok Bogataj – bogataj.rok@gmail.com
Exposition-vente dans le hall de la MSH, 54, bd Raspail, Paris ; rencontres auteurs, nouveautés, titres de référence et ouvrages soldés à 3 €.
18h30, Paris, cafétéria de la MSH.
2e séance du cycle « Éditer les sciences sociales aujourd’hui », avec Roger Chartier, Pierre-Antoine Fabre, Jean-Luc Vessy, Bertrand Marchal et Pierre Mounier.
Discussion animée par Pierre Judet de La Combe.
dans le cadre du cycle « un film–un livre » au cinéma L’Arlequin.
Les auteurs des Reliques modernes réagiront au film La Sentinelle.
C’est avec un sourire un peu tremblant que Josiane Kergraisse évoque son parcours au sein de l’Ėcole, consciente d’avoir accompagné l’évolution de cette fameuse « VIe section » jusqu’à l’Ėcole des hautes études en sciences sociales aujourd’hui. Un parcours remarquable non seulement à titre individuel, par ce qu’il a offert à Josiane en terme de rencontres et moments exceptionnels, mais aussi par ce que cette jeune fille de seize ans, entrée au Laboratoire d’anthropologie sociale à l’été 1966 pour un remplacement d’un mois, a finalement pu apporter à l’Ėcole.
Car Josiane Kergraisse a véritablement participé à la construction de l’École. Coordinatrice de travaux, elle a notamment participé à l’ouverture des locaux au 54, bd Raspail en 1967-68 avec René Marzocchi, administrateur adjoint de la MSH dont elle garde un souvenir ému. Responsable de la première implantation extérieure de l’Ėcole au 44, rue de la Tour dans le 16e arrondissement pendant dix ans, elle gère le difficile déménagement de ces 1800m2 à la fermeture des locaux pour ensuite travailler sur l’avant-projet de l‘implantation au 22, avenue Wilson. Josiane arrive enfin au 105, bd Raspail, site de locaux partagés avec Paris VI et dont l’Ėcole ne dispose jusque là que d’une petite partie : en août 1990, suite à la cession d’une importante superficie de bureaux par Paris 6 (l’EHESS disposant de ce fait de 84 % de la surface globale), Josiane dirige les importants travaux de rénovation qui donneront au 105 son aspect actuel. La gestion intégrale lui en est alors confiée, et pas moins de treize opérations de travaux passeront sous son expertise entre août 1990 et 2003.
Depuis 2003, Josiane est également responsable logistique du 96, bd Raspail et du 7, rue Huysmans. Josiane Kergraisse, par ses compétences et sa personnalité, a su relier des bâtiments à des hommes, et l’évolution de cette maison qui a vu passer tant de monde s’est faite de concert, Josiane ayant en quelque sorte grandi avec elle. Reconnaissante de la confiance qui lui a été accordée, de l’autonomie avec laquelle elle a pu assurer ses fonctions, elle semble oublier que ses qualités y sont certainement pour quelque chose. Ayant connu tous les présidents qui ont succédé à Lucien Febvre, elle a un mot admiratif pour chacun, de Fernand Braudel à François Weil qu’elle a connu étudiant, en passant par François Furet et Danièle Hervieu-Léger.
Nul doute que ce départ représente pour Josiane un réel déchirement, mais celui-ci est atténué par le sentiment de « passer la main » à une personne de confiance : Josiane Kergraisse confie les clefs à Josseline Gillet, dont elle a assuré la formation depuis septembre. Et se tourne vers de nouveaux défis, direction le Loiret, et plus loin encore dans une mémoire familiale dans laquelle elle a à cœur de se plonger.
Avril 1968 : recrutée après avoir répondu à une petite annonce parue dans la presse, Christine Bonnefoy intègre le Centre de recherches historiques, alors dirigé par Emmanuel Le Roy Ladurie. Elle n’imagine alors sûrement pas le parcours qui va être le sien, amorcé véritablement quelques années plus tard avec la rencontre de Jacques Le Goff, élu président de l’École en 1972. C’est le début de ce que Christine qualifie elle-même de « carrière formidable », l’adjectif se référant sans ambiguïté aucune aux liens forts qu’elle a pu tisser avec des personnalités effectivement formidables et aux rencontres suscitées.
Assistante personnelle de Jacques Le Goff dès ses années de présidence, Christine Bonnefoy participe en toute logique à la création du GAHOM en 1978. Indissociable du « patron », Christine est de tous les projets, de tous les colloques, de tous les livres aussi. Elle n’en néglige pas les étudiants pour autant, dont elle parle avec une grande tendresse mêlée d’admiration : elle prend plaisir à les voir grandir et embrasse dans une même phrase thèses et bébés, révélant par là, sans s’en rendre compte, la force des liens affectifs qui la lient à ceux qu’elle côtoie au quotidien. Un quotidien dont Jacques Le Goff lui-même n’est jamais véritablement sorti, puisqu’elle travaille avec lui deux fois par semaine, préservant ainsi un lien intellectuel, scientifique et sans doute aussi un peu filial.
Christine Bonnefoy ne vit pas pour autant dans le passé, l’arrivée de Jean-Claude Schmitt à la tête du GAHOM en 1992 ayant été pour elle l’occasion de travailler avec une autre génération, de rencontrer des personnalités différentes, tout aussi passionnantes, et d’être la cheville ouvrière d’un nombre croissant de projets, de collaborations, d’échanges internationaux, au fur et à mesure que l’équipe s’étoffait et diversifiait ses activités. Ses fonctions auprès du CEHTA, dirigé par Giovanni Careri, lui ont également permis des rencontres dont elle reconnaît avoir reçu beaucoup, citant rien moins que les noms de Louis Marin, Hubert Damisch et Daniel Arasse, autant de références incontournables de l’histoire de l’art. C’est donc riche de souvenirs, d’expériences et de rencontres exceptionnelles que Christine Bonnefoy s’éloigne de son cher GAHOM, prête à consacrer plus de temps à la troupe de théâtre dont elle fait partie depuis de nombreuses années. L’occasion de la retrouver dans un nouveau rôle ?
Éléonore Merza a été recrutée en tant que maître de langue FLE : http://www.ehess.fr/fr/enseignement/enseignements/2009/ue/1314/
Martine Pelle part en retraite, Florence Antoine nous quitte pour le Palais de la découverte et Marie Hérisse part au ministère des Affaires étrangères.
Luc Brédillon est affecté au service du patrimoine et de la logistique, Sandrine Dieazanacque est au LDH/CARE en remplacement de Francine Filoche, Emmanuelle Gravejat au bureau de la gestion financière, Sandrine Nadal au CAMS, Frédéric Rameau au bureau des personnels enseignants, Natacha Rouillon au bureau des personnels IATOS, Sandra Pertays rejoint la DDR et Josseline Gillet succède à Josiane Kergraisse au 105.
Figure familière de l’École, Roland Dall'Asta est décédé le 23 octobre. Il devait partir en retraite en novembre.
Alain Peyraube, directeur de recherche et directeur d’études au Centre de recherches linguistiques sur l’Asie orientale (CRLAO) a été gratifié le 11 septembre 2009 par l’Académie des sciences sociales de Chine du titre d’Académicien. La cérémonie, qui a eu lieu dans les locaux de l’Académie à Pékin, a rassemblé l’ensemble des chercheurs de l’Institut de linguistique de l’Académie mais aussi nombre de personnalités et chercheurs extérieurs.
Les hommages adressés par M. Cao Guangshun, vice-directeur de l’Institut de linguistique de l’ASSC et directeur du Centre de recherche sur la grammaire du chinois pré-moderne, M. Shen Jiaxuan, directeur de l’Institut de linguistique de l’ASSC, Mme Jiang Lansheng, académicienne, membre du Conseil des Affaires d'État et docteur honoris causa de l’ENS Lyon, Mme Christine Cornet, attachée culturelle en charge des sciences humaines et sociales à l’Ambassade de France à Pékin, enfin de M. Zhang Youyun, vice-directeur du Département des affaires internationales de l’ASSC, ont insisté sur la qualité exceptionnelle de la contribution d’Alain Peyraube à la linguistique historique chinoise. Ils ont par ailleurs unanimement souligné son effort constant à porter au plus haut niveau la collaboration scientifique entre les institutions chinoises, françaises et européennes. Parmi les personnes présentes à cette cérémonie, se trouvaient également Mme Cai Wenlan, secrétaire du parti à l’Institut de linguistique de l’ASSC, M. Liu Danqing, vice-directeur de l’Institut de linguistique de l’ASSC, M. Wu Bolong, responsable du bureau des affaires internationales, M. Jean-Claude Thivolle , responsable du bureau CNRS en Chine, M. François Gipouloux, directeur de recherches au Centre d'études sur la Chine moderne et contemporaine de l’EHESS, Mme Xu Dan, professeur à l’INALCO et membre du CRLAO, M. Redouane Djamouri, directeur du CRLAO.
Le Grand Prix de la culture asiatique de Fukuoka 2009 a été décerné à Augustin Berque.
Henri Berestycki a été élevé au grade de Chevalier de l’ordre national de la Légion d’honneur.
Stéphane Audoin-Rouzeau s’est vu attribuer le Prix du Maréchal Foch par l’Académie française pour son ouvrage Combattre : une anthropologie historique de la guerre moderne (XIXe-XXIe siècle), paru au Seuil.
Danièle Hervieu-Léger est nommée présidente du conseil d’administration de l’Institut national d’études démographiques.
Toutes les infos du Centre Histoire et archéologie des mondes chrétiens et musulmans médiévaux : http://ciham.ish-lyon.cnrs.fr/
Toutes les infos du Centre Sociologie, histoire, anthropologie des dynamiques culturelles : http://shadyc.ehess.fr/document.php?id=371
Toutes les infos du Groupement de recherche en économie quantitative d’Aix-Marseille : http://www.greqam.fr/
Toutes les infos du Centre pour l'édition électronique ouverte : http://cleo.cnrs.fr/
Toutes les infos du Laboratoire interdisciplinaire, solidarités, sociétés, territoires : http://w3.lisst.univ-tlse2.fr/
Des négociations sont toujours en cours pour le relogement de l’École dans le XIIIe arrondissement. Plusieurs bâtiments situés à proximité de la BNF et de l’université Paris-Diderot font l’objet d’études et de négociations.
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