La revue L’Homme consacre un double numéro spécial à l’œuvre de Marc Augé sous le titre L’anthropologue et le contemporain. Les quelque trente contributions réunies ont certes pour but de rendre hommage, comme il en est de tout Festschrift, à une œuvre forte qui a marqué la pensée anthropologique de ces trente dernières années, et qui ne se limite ni institutionnellement, ni conceptuellement à celle que l’Américain Robert Lowie avait qualifiée naguère, non sans une pointe d’ironie, de française. Sous la bannière de l’anthropologie des mondes contemporains et dans l’étroite fréquentation d’auteurs comme Rousseau, Freud, Mauss, Bataille, Lévi–Strauss, Althusser, ou Balandier, Marc Augé, en l’espace de quarante ans, et à partir d’une longue et minutieuse enquête de terrain en Afrique, a abordé une grande diversité de thèmes : le pouvoir, la répression, les interdits, les relations de dépendances personnelles, la sorcellerie, la parenté (la filiation, la génétique), le rite, les rituels d’inversion, la maladie, la mort, l’espace, le temps, le corps, la notion de fétiche, la parole, le récit, la fiction, l’image, l’idéologie, le rêve, l’imaginaire, le patrimoine, l’architecture, l’urbanisme, la ville, la question des « droits de l’homme »…
Mais au–delà des témoignages et de l’évocation d’un itinéraire personnel, un autre ordre de préoccupation se dégage de ce volume, qui propose une sorte de coupe transversale des questions actuelles de l’anthropologie. Se dessinent en effet, à travers ces contributions d’amis et de collègues venus d’horizons très divers (de l’ethnologie, mais aussi de l’histoire, de l’histoire de l’art et des religions, de la psychanalyse, de l’urbanisme, de la philosophie, de la littérature ou de la photographie) et issus de différentes générations intellectuelles, des orientations de méthode, des constructions d’objet, des centres d’intérêt communs, ou tout au moins relevant d’une même sensibilité et d’une même visée épistémologique : une visée qui s’attache à dépasser une série d’oppositions classiques, non seulement entre tradition et modernité, sociétés lointaines (exotiques) et sociétés proches, mais aussi entre structure et histoire, entre sens et fonction.
Ainsi l’ensemble de ces textes et images, qu’ils évoquent le passé, par l’histoire des regards et des arts, le présent, ou le futur – en affrontant la question de la mondialisation – font œuvre de programme et retirent d’une vie de recherche à laquelle l’hommage seul ne saurait rendre pleinement justice, des pistes et des modèles de réflexion, des leçons de maintien et de conduite scientifiques. Ils présentent non pas une école de pensée, mais un courant de recherches, un mouvement d’idées, à travers cette série de variations anthropologiques sur le thème de la contemporanéité, maître mot et maîtrise d’œuvre de Marc Augé.
Mercredi 7 mai, 9h–19h, Paris
Journée organisée par Marc Abélès, Vincent Duclert et Christophe Prochasson, avec le soutien du groupe AHMOC et des Cercles de formation (Rita Hermon–Belot).
L’événement de Mai 68 est intervenu dans un contexte d’affirmation des sciences sociales. Il a impliqué de nombreux chercheurs de ces disciplines, engagés dans le combat des luttes sociales, intellectuelles et politiques, au plan national comme international. Fort de ces constats, une série de questions s’offre aux chercheurs qui, quarante ans plus tard, souhaitent penser l’événement et en comprendre le sens. En quoi la pratique des sciences sociales a–t–elle agi dans l’engagement de ceux qui les constituaient à la même époque ? Comment ces engagements, à rebours, modifièrent–ils les sciences sociales et leurs pratiques ? En quoi les thématiques actuelles de recherche et les nouvelles problématiques contribuent–elles enfin à la connaissance de l’événement et des controverses que suscite son quarantième anniversaire ? Des chercheurs de l’École des hautes études en sciences sociales proposent quatre grandes tables rondes, introduites par une conférence de Claude Lefort, afin de relever le défi de ces questions qui intéressent la société et la politique aussi bien que les savoirs scientifiques.
Programme
détaillé : http://actualites.ehess.fr/
nouvelle2908.html
Lieux : EHESS — Amphithéâtre — 105, bd Raspail — 75006 Paris et EHESS — Hall — 54, bd Raspail — 75006 Paris
Contact : Anne Luciani — anne.luciani@ehess.fr
Lundi 19 mai, 14h–18h, Paris
Laura Lee Downs, PRI « Îles britanniques » et Wolfgang Kaiser, PRI « Transméditerranées », proposent une discussion avec Nabil Matar, Université de Minnesota.
Nabil Matar, qui a enseigné à l’Université de Floride et à l’Université américaine du Caire, actuellement professeur à l’Université de Minnesota, travaille au croisement des études littéraires et historiques. Ses travaux sur la présence musulmane dans l’Angleterre de l’époque moderne, dans les rues de Londres comme dans les « Turk Plays », visent à montrer la centralité de l’expérience maghrébine pour la conscience britannique dans la première phase de la construction de l’empire. Plus récemment, Nabil Matar a publié un recueil de récits de voyages arabes qui met en question l’idée reçue d’un prétendu désintérêt musulman pour l’Europe chrétienne.
Discutants : Renaud Morieux (Lille III), Jocelyne Dakhlia (EHESS) et Anne Duprat (Paris IV–Sorbonne).
Lieu : EHESS — salle 524 — 54, bd Raspail— 75006 Paris
Contacts : Laura Downs — laura.downs@ehess.fr et Wolfgang Kaiser — wolfgang.kaiser@univ–paris1.fr
Mardi 6 mai, 9h30–17h30, Paris
Journée d’études organisée par Martine Pécharman, Centre de recherches sur les arts et le langage (CRAL).
Au cours de cette journée d’études consacrée à l’interprétation de la Poétique d’Aristote à la Renaissance italienne, on se propose d’examiner les raisons de l’ascendant renouvelé de ce texte en présence de genres nouveaux, littéraires et artistiques, ainsi que d’analyser sa capacité de résistance face à des contestations philosophiques de l’aristotélisme. Cette interrogation entend constituer une manière de mettre à l’épreuve la consistance théorique de la Poétique.
Lieu : EHESS — Salle de réunion du CRAL, 1er étage — 96, bd Raspail — 75006 Paris
Contact : Martine Pécharman — martine.pecharman@ehess.fr
Les 13 et 14 mai, 9h–18h et 9h30–12h30, Paris
Journée d’études organisée par Maud Chirio (MASCIPO / Paris I) ; Rodrigo Nabuco de Araujo (FRAMESPA / Toulouse II – Le Mirail).
Comparer les rapports entre militaires et politique au xxe siècle en Europe, en Amérique du Sud et en Afrique peut sembler une tâche démesurée. Il existe pourtant un point de départ commun : nous traitons d’armées passées par un certain processus de professionnalisation à partir du début du xxe siècle, à qui ont été attribuées des fonctions reconnues collectivement : la défense de l’intégrité territoriale et, souvent, le maintien de l’ordre ou de la légalité constitutionnelle. Cette mission de garant du régime, des institutions, et parfois de l’ordre public induit, déjà, une ambiguïté quant à l’accession à un rôle politique. Autour de quatre points (« Historiographies et questionnements », « Légitimités de l’action politique des militaires », « Cultures et doctrines militaires », « Paramilitaires et combattants »), ce colloque propose d’éclairer d’une lumière nouvelle un sujet trop souvent étudié à l’intérieur de cloisonnements nationaux.
Lieu : EHESS — Amphithéâtre — 105, bd Raspail— 75006 Paris
Contact : Lydia Robin — lydia.robin@ehess.fr
Les 15 et 16 mai, 9h30–17h, Marseille
Journées d’études mises en œuvre dans le cadre du Plan Pluriformations Genre et Sciences Sociales, organisées au SHADYC (Sociologie, Histoire, Anthropologie des Dynamiques Culturelles).
Dans le cadre du cycle de journées d’études organisé à l’EHESS Marseille autour de la « dimension sexuée de la personne », ces journées intitulées « Échanges, transactions, relations » convoqueront différentes approches autour de la dimension économique, matérielle et symbolique des rapports de genre. Elles permettront d’aborder diverses formes d’échanges au sein de différentes sociétés, choisies en France, au Québec, en Afrique du Nord et de l’Ouest ou en Polynésie. Économie domestique et « maisonnée », entraide et solidarités, transmissions patrimoniales, échanges cérémoniels : comment définir ces divers lieux et formes des échanges et les penser ensemble dans la comparaison ?
Programme
détaillé : http://actualites.ehess.fr/
nouvelle2912.html
Accès libre – Inscription obligatoire : Katrin Langewiesche — katrinlangewiesche@yahoo.fr — 04 91 14 07 58
Lieu : SHADYC — Centre de la Vieille Charité — 2, rue de la Charité — 13002 Marseille
Contact : Agnès Martial — martial@ehess.univ–mrs.fr
vendredi 23 mai, 10h–18h, Paris
Journée organisée par Esteban Buch, Laurent Feneyrou et Martin Kaltenecker, de l’équipe « Musique » du Centre de recherches sur les arts et le langage (CRAL, EHESS — CNRS).
L’opéra contemporain ou, si l’on préfère, le théâtre musical d’aujourd’hui — distinction qui est en soi un enjeu théorique — reste à la fois un genre emblématique et un genre fragile. La composition et la production d’un opéra représentent une somme d’investissements telle qu’il est considéré à la fois comme une marque importante dans la carrière d’un compositeur et comme un produit susceptible d’interpeller une « communauté de jugement » élargie, voire à entrer en concurrence avec d’autres formes artistiques dominantes, en particulier le cinéma. Genre fragile en même temps, où se négocie un contrat difficile entre texte, image et musique, lequel reflète à la fois la tension (ou l’harmonie) entre des personnalités différentes, et ce « réglage » auquel chaque époque procède quant à l’articulation de ces trois médias, le sonore, le visuel, le textuel.
Programme détaillé : http://musique.ehess.fr/
Lieu : EHESS — salle Lombard — 96, bd Raspail — 75006 Paris
Contact : Esteban Buch — esteban.buch@ehess.fr
Mardi 27 mai, 9h30–21h, Paris
Journée d’études organisée par Maria–Pia Di Bella, de l’Institut de recherche interdisciplinaire sur les enjeux sociaux (IRIS — CNRS /Inserm/EHESS/Université Paris 13).
Les enquêtes présentées lors de cette journée visent à susciter une réflexion collective sur l’articulation des questions épistémologiques et éthiques que soulève la construction de notre objet d’étude : la violence. Les actes qui visent l’intégrité corporelle et leurs effets constituent bien le cœur empirique des objets d’enquête abordés. Mais rares sont les occasions données à l’ethnographe de pouvoir assister de visu à ces actes de violence au moment même où ils se déroulent. De ce fait, il est acculé à décrire ces mêmes actes à travers le témoignage d’un tiers, victime ou autre, et à réduire la violence à sa narration, ou à ses usages métaphoriques. Ces préoccupations seront débattues lors de la présentation et de la discussion des différentes interventions.
Programme
détaillé : http://iris.ehess.fr/
document.php?id=692
Lieu : EHESS — Amphithéâtre — 105, bd Raspail— 75006 Paris
Contact : Maria–Pia Di–Bella — maria–pia.di–bella@ehess.fr
Les 29 et 30 mai, 9h30–17h30, Paris
Journées d’études internationales organisées par l’Institut de recherche interdisciplinaire sur les enjeux sociaux (IRIS — CNRS /Inserm/EHESS/Université Paris 13), le Réseau Asie–Imasie (CNRS–FMSH) et le groupe Sociétés, Religions, Laïcités (CNRS–EPHE).
La présence et l’influence des églises chrétiennes en Océanie sont aujourd’hui devenues des données incontournables de l’analyse de ces sociétés insulaires et des dynamiques régionales. Alors que les églises dites « historiques » ou « traditionnelles » avaient élaboré un discours chrétien sur les identités culturelles locales face à l’occidentalisation, l’essor des églises mormones et adventistes, puis de la « troisième vague » du christianisme océanien – les mouvements évangéliques et pentecôtistes – semble aujourd’hui remettre en cause ces équilibres. Ces journées d’études visent à la fois à dresser un état des lieux du christianisme océanien contemporain et à réfléchir aux approches anthropologiques disponibles pour rendre compte des rapports entre christianisme et culture dans cette région du monde.
Programme
détaillé : http://iris.ehess.fr/
document.php?id=690
Lieu : Site Pouchet — Salle 159 — 59–61, rue Pouchet — 75017 Paris
Contact : Yannick Fer — yannick.fer@gsrl.cnrs.fr
À la mémoire de Constantinos Leventis
Les 5, 6 et 7 juin, Paris
Colloque international organisé par Paolo Odorico, Centre d’études byzantines, néo–helléniques et sud–est européennes.
Programme
détaillé : http://www.ehess.fr/centres/
belon/pages/actualites.htm
Lieux : EHESS — Amphithéâtre, salle 5 et salle 1 — 105, bd Raspail — 75006 Paris
Contact : Claude Vatin — byzance@ehess.fr
Les papiers privés d’Alexandre Koyré ont été légués en 1970, avec sa bibliothèque personnelle, à notre équipe de recherche rattachée à l’EHESS. Ils ont été déposés au Centre Alexandre–Koyré/CRHST au décès de la veuve d’Alexandre Koyré en 1981. Ce fonds témoigne de la vie d’étudiant, d’enseignant et de chercheur d’Alexandre Koyré (1892–1964). Les pièces qui le composent permettent de retracer les différentes étapes de la réflexion de philosophe et d’historien des idées religieuses et des sciences qu’il fut.
L’intérêt principal du fonds réside dans la présence d’abondantes notes de lecture et de travail, de textes de conférences et de cours, de manuscrits inédits, d’extraits annotés d’ouvrages de divers auteurs et de documents relatifs à son cursus universitaire et sa carrière administrative. On y trouvera également des photos et ses cahiers d’étudiant en Allemagne et en France. Ce fonds rassemble en outre des tirés à part d’articles d’Alexandre Koyré, des exemplaires de ces ouvrages réédités ainsi que des comptes rendus de ses ouvrages et articles. Les éléments de correspondance reçue et envoyée sont peu nombreux, datent essentiellement des années 1931–1934 et concernent principalement la publication de la revue Recherches philosophiques, revue dont Alexandre Koyré partagea la direction avec Albert Spaïer. Quelques courriers de scientifiques reconnus sont néanmoins conservés comme par exemple ceux signés Levinas, Aron, Jankélévitch ou encore Lacan. L'inventaire a été réalisé en XML selon la norme EAD (Encoded Archival Description) qui permet de créer des instruments de recherche numériques dans le respect de la norme ISAD(G), offrant des possibilités d'indexation documentaires et permettant une interaction avec les utilisateurs. Ce projet a été réalisé avec le soutien technologique du Centre National pour la Numérisation de Sources Visuelles (www.cn2sv.fr). Le CN2SV est un centre de ressources numériques créé en 2006 par le département SHS et la direction de l'information scientifique du CNRS et qui s'inscrit dans le cadre du très grand équipement ADONIS (www.tge–adonis.fr). Le CN2SV, adossé au Centre Alexandre–Koyré/CRHST, est une plateforme technologique qui aide les équipes dans l'informatisation des sources (histoire des sciences, archives de sciences).
L’inventaire et les recherches documentaires ont été réalisés par Fabien Cardoni. Le Centre Alexandre Koyré/CRHST vous propose la consultation en ligne de l’inventaire (2e édition) du fonds Alexandre Koyré conservé à la bibliothèque du Centre, la liste des notices de sa bibliothèque personnelle, ainsi que des ressources disponibles dans d’autres bibliothèques. En outre, un espace d’échange permet à ceux qui le souhaitent d’apporter des informations complémentaires sur la vie et l’œuvre d’Alexandre Koyré.
Informations : Bibliothèque du CAK — www.koyre.cnrs.fr/fondskoyre — 01 40 79 80 05
Contact : Stéphane Pouyllau — contact@cn2sv.fr — 01 40 05 73 92
Les experts sociaux en guerre contre la pauvreté aux États–Unis (1945–1974)
Romain Huret
Collection « En temps et lieux », vol.1 | 2008 | 240 pages | 21 €
Est–il possible de supprimer définitivement la pauvreté ? Telle est la question que se posent les experts dans l’Amérique prospère de l’après–1945. Romain Huret mène l’enquête autour du programme La Guerre contre la Pauvreté, établi par les administrations démocrates des présidents Kennedy et Johnson, et prolongé par le président républicain Nixon. Né d’une interrogation sur la place de la pauvreté dans nos sociétés contemporaines et sur le traitement que lui accordent les sciences sociales, cet ouvrage éclaire d’un jour nouveau la crise du système social.
Autour de Marc Augé
L’Homme. Revue française d’anthropologie, n° 185–186 | avril 2008 | 548 pages | 35 €
Les articles et témoignages réunis rendent hommage à l’œuvre de Marc Augé. Se dessine, à travers ces contributions d’amis et de collègues venus d’horizons divers (de l’ethnologie, mais aussi de l’histoire, de l’histoire de l’art et des religions, de la psychanalyse, de l’urbanisme, de la philosophie, de la littérature ou de la photographie) et issus de différentes générations intellectuelles, une même sensibilité (et visée) épistémologique.
Cahiers d’études africaines, n° 189–190 | avril 2008 | 384 pages | 29 €
Ces quinze dernières années, les phénomènes de sorcellerie en Afrique, objet privilégié de l’anthropologie classique, ont à nouveau attiré l’intérêt des anthropologues qui en font une figure centrale de la modernité africaine liée à la mondialisation. Ce numéro dénonce ce paradigme pervers, brise le consensus qui réduit la sorcellerie à un effet de la modernité, du choc des civilisations. Les articles évoquent des régions et des contextes religieux souvent absents dans la littérature actuelle.
Le modèle du parti–cartel en question
Yohann Aucante et Alexandre Dézé (eds)
Préface de Jean–Luc Parodi
Presses de Sciences–Po l collection « Académique » – domaine « Fait politique » | 2008 | 456 pages | 33 €
Claude Calame (ed.)
Textuel | 2008 | 159 pages | 18 €
Antoinette Chauvenet, Corinne Rostaing et Françoise Orlic
PUF | collection « Le Lien social » | 2008 | 325 pages | 25 €
Commencements grecs
Catherine Darbo–Peschanski
Gallimard | collection « Folio essais » | 2007 | 567 pages | 10,50 €
François Dell et Mohamed Elmedlaoui
Rüdiger Köppe Verlag | collection « Berber Studies » vol. 19 | 2008 | 274 pages | 44,80 €
Enquête sur les collectionneurs
Brigitte Derlon et Monique Jeudy–Ballini
Gallimard | collection « Bibliothèque des sciences humaines » | 2007 | 319 pages | 20 €
Caroline Douki et Philippe Minard (eds)
Belin | Revue d’Histoire Moderne & Contemporaine 54–4 bis | 2007 | 122 pages | 15 €
L’Allemagne nazie et les Juifs 1933–1939
Saul Friedländer
Traduction de Marie–France de Paloméra
Seuil | collection « L’univers historique » | 2008 | 544 pages | 26 €
L’Allemagne nazie et les Juifs 1939–1945
Saul Friedländer
Traduction de Pierre–Emmanuel Dauzat
Seuil | collection « L’univers historique » | 2008 | 1040 pages | 32 €
L’épilogue de la Révolution française
Patrice Gueniffey
Gallimard | collection « Les journées qui ont fait la France » | 2008 | 371 pages | 24 €
De l’identité blessée à une sociologie des possibles
Liora Israël et Danièle Voldman (eds)
Complexe | collection « Histoire du temps présent » | 2008 | 272 pages | 25 €
Edgar Morin
Nouvelle préface d’Edgar Morin et introduction d’Éric Macé
Armand Colin | collection « Médiacultures » | 2008 | 224 pages | 22 €
Les Baay Faal du Sénégal
Charlotte Pezeril
Préface de Jean Copans
L’Harmattan | collection « Anthropologie critique » | 2008 | 320 pages | 31,50 €
Une controverse républicaine : l’accès de femmes aux professions de prestige 1880–1940
Juliette Rennes
Fayard | collection « L’espace du politique » | 2007 | 589 pages | 32 €
Enquête sur un inconnu
Lucette Valensi
Stock | collection « Un ordre d’idée » | 2008 | 380 pages | 21,50 €
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